Les fleurs du mal de Baudelaire « A une passante » _____ Texte : La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
« À une passante » est un poème de Charles Baudelaire publié dans la revue L'Artiste en 1855 et recueilli l'année suivante dans la deuxième édition de Les fleurs du mal Même si le texte a pour objet un thème tout-à-fait prévisible et préféré par les Romantiques (le
chez Baudelaire Mouvements du texte : I Vers à : L’apparition de la passante et la fascination du poète II Vers 9 à 14 : La disparition de la passante et la désillusion du poète Premier mouvement La rue assourdissante autour de moi hurlait Décor d’un paysage urbain Hypotypose qui donne à voir une rue animée, bruyante et et moderne
Texte 1 : Baudelaire (1821-1867) Les Fleurs du mal (1857), « A une passante » A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston1 et l'ourlet2; Agile et noble, avec sa jambe de statue 5
Baudelaire dans la réédition augmentée de 1861 Sonnet en rimes (enjeu) A une passante est le récit d’une rencontre amoureuse, d’un « coup de foudre » à la manière des romans (Plan)Le texte peut s’analyser d’abord comme une scène romanesque Mais nous montrerons
A UNE PASSANTE La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œ il, ciel livide où germe l'ouragan,
« A une passante » (uniquement pour la 1ère L2)-Comment Baudelaire réinvente-t-il le motif de la rencontre au premier regard ?-Comment Baudelaire rend-il la passante mystérieuse ?-En quoi spleen et idéal sont-ils mêlés dans ce poème ?-En quoi ce poème montre-t-il la modernité de Baudelaire ?
l'œuvre de Baudelaire soit passée à la pos térité et que divers publics aient assuré la réception du texte « À une passante » de puis sa parution en revue le 15 octobre 1860 En donnant à voir la dualité et Tin-détermination de sens dans le poème, je propose une lecture qui tienne compte du sens multiple et je tente de mettre
Séquence : Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire Objet d’étude : La poésie du XIXème au XXIème siècle Parcours : Alchimie poétique : la boue et l’o Compétences / objectifs : - Comprendre par quels changements de sensibilité et d’écitue se manifeste dans ce ecueil le développement du omantisme
Les fleurs du mal de Baudelaire « A une passante » _____ Texte : La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,Taille du fichier : 46KB
» Texte n°1 1 BAUDELAIRE, « A une passante », section « Tableaux parisiens », Les Fleurs du Mal, 1861 A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; 5 Agile et noble, avec sa jambe de statue Moi, je buvais, crispé comme un extravagant
La poésie / Parcours « Les mémoires d’une âme » Texte 1 : Baudelaire (1821-1867) Les Fleurs du mal (1857), « A une passante » A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston1 et l'ourlet2;
A UNE PASSANTE La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œ il, ciel livide où germe l'ouragan,
« À une passante » est un poème de Charles Baudelaire publié dans la revue L'Artiste en 1855 et recueilli l'année suivante dans la deuxième édition de Les fleurs du mal Même si le texte a pour objet un thème tout-à-fait prévisible et préféré par les Romantiques (le
Explication linéaire corrigée– « A une passante » Introduction Inspiré par le monde urbain et son expérience de journaliste, Baudelaire cultive son goût ds « choses vues » Lors de la seconde édition des Fleurs du mal, en 1861, il introduit la section « Tableaux parisiens » Le poème « A une passante » en fait partie C’est un sonnet, composé de
Baudelaire dans la réédition augmentée de 1861 Sonnet en rimes (enjeu) A une passante est le récit d’une rencontre amoureuse, d’un « coup de foudre » à la manière des romans (Plan)Le texte peut s’analyser d’abord comme une scène romanesque Mais nous montrerons
A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
« A une passante » (uniquement pour la 1ère L2)-Comment Baudelaire réinvente-t-il le motif de la rencontre au premier regard ?-Comment Baudelaire rend-il la passante mystérieuse ?-En quoi spleen et idéal sont-ils mêlés dans ce poème ?-En quoi ce poème montre-t-il la modernité de Baudelaire ?
- Une séance d’évaluation - Une séance de correction Première étape : explication linéai e (en vue de l’ép euve orale du bac) Deuxième étape : commentaire - Figures de style - Versification - Négation exceptive (restrictive) - sens étymologiques (charme, réseau) Evaluation par compétences :